La MINUSCA et l’Ambassade de France renforcent les capacités des maires nouvellement nommés

28 nov 2015

La MINUSCA et l’Ambassade de France renforcent les capacités des maires nouvellement nommés

Le processus électoral en cours en République centrafricaine et le fonctionnement de l’administration déconcentrée sont les principales thématiques d’un séminaire de renforcement des capacités à l’intention des présidents nouvellement nommés, des délégations spéciales des communes qui s’est tenu du  24 au 27 novembre 2015 au siège de l’Alliance Française, à Bangui.

Organisée conjointement par la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) et l’Ambassade de France en RCA, cette formation s’inscrit dans le cadre de l’appui à la restauration de l’autorité de l’Etat.

Comme le soulignera le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations Unies, Aurélien Agbénonci, à l’ouverture du séminaire, « en accompagnant cette initiative, la MINUSCA et les autres agences Nations Unies viennent mettre en application les directives de la résolution 2217 du Conseil de Sécurité de l’ONU qui demande à la MINUSCA, et je cite, de promouvoir et d’appuyer la restauration de l’autorité de l’Etat en soutenant le redéploiement de l’administration et la préparation des élections. »

Un soutien salué par le ministre de l’Administration du territoire, de la Décentralisation et de la Régionalisation (MATDR), Modibo Bachir Walidou, qui a indiqué que « les nouvelles délégations auront à relever des défis considérables, dans le contexte particulier qui est le nôtre » actuellement.

Lors de la cérémonie de clôture, le vendredi 27 novembre 2015, chaque président de délégation spéciale a reçu un kit administratif, composé de la charte constitutionnelle, du projet de Constitution, des ordonnances de 1988 relatives au fonctionnement des collectivités, du Code de la Famille, du décret de nomination des délégations spéciales et enfin,  de 20 lois, décrets et arrêtés qui permettront de mener à bien les services de base.

Rappelons qu’à ce jour, la République centrafricaine compte plus de 160 délégués spéciaux des communes.

La MINUSCA et l’Ambassade de France renforcent les capacités des maires nouvellement nommés

Le processus électoral en cours en République centrafricaine et le fonctionnement de l’administration déconcentrée sont les principales thématiques d’un séminaire de renforcement des capacités à l’intention des présidents nouvellement nommés, des délégations spéciales des communes qui s’est tenu du  24 au 27 novembre 2015 au siège de l’Alliance Française, à Bangui.

Organisée conjointement par la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) et l’Ambassade de France en RCA, cette formation s’inscrit dans le cadre de l’appui à la restauration de l’autorité de l’Etat.

Comme le soulignera le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations Unies, Aurélien Agbénonci, à l’ouverture du séminaire, « en accompagnant cette initiative, la MINUSCA et les autres agences Nations Unies viennent mettre en application les directives de la résolution 2217 du Conseil de Sécurité de l’ONU qui demande à la MINUSCA, et je cite, de promouvoir et d’appuyer la restauration de l’autorité de l’Etat en soutenant le redéploiement de l’administration et la préparation des élections. »

Un soutien salué par le ministre de l’Administration du territoire, de la Décentralisation et de la Régionalisation (MATDR), Modibo Bachir Walidou, qui a indiqué que « les nouvelles délégations auront à relever des défis considérables, dans le contexte particulier qui est le nôtre » actuellement.

Lors de la cérémonie de clôture, le vendredi 27 novembre 2015, chaque président de délégation spéciale a reçu un kit administratif, composé de la charte constitutionnelle, du projet de Constitution, des ordonnances de 1988 relatives au fonctionnement des collectivités, du Code de la Famille, du décret de nomination des délégations spéciales et enfin,  de 20 lois, décrets et arrêtés qui permettront de mener à bien les services de base.

Rappelons qu’à ce jour, la République centrafricaine compte plus de 160 délégués spéciaux des communes.